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DUBAÏ: Amira al-Zouhair, mannequin saoudienne de 21 ans, a connu une année exceptionnelle. Le mois dernier, lors de la semaine de la haute couture à Paris, elle a défilé pour certains des couturiers les plus renommés du monde, dont le styliste libanais Georges Hobeika et Giorgio Armani, faisant ainsi la une des journaux internationaux. Quelques semaines auparavant, elle avait obtenu sa licence (avec mention très bien) en philosophie, politique et économie au King’s College de Londres.
Al-Zouhair a signé à l’âge de 15 ans dans la prestigieuse agence Elite Model Management. «Je déjeunais avec ma famille dans un restaurant à Paris et j’ai été repérée par un ancien représentant d’Elite qui m’a dit que je devrais aller à l’agence et qu’ils m’apprécieraient beaucoup. J’y suis donc allée, et en dix minutes, j’ai obtenu un contrat, ce qui était assez surréaliste», raconte Al-Zouhair à Arab News.
Mais elle n’est pas devenue mannequin à plein temps avant l’âge de 18 ans. Au lieu de cela, elle a eu une introduction progressive à l’industrie avec des séances d’essai et des éditoriaux.
«L’école et mon éducation ont été une priorité absolue», explique-t-elle. «J’ai toujours été un peu intello — j’ai représenté mon école dans des concours nationaux de mathématiques, j’ai été chef de l’équipe de mathématiques et membre du Parlement des jeunes du Royaume-Uni. Et puis je me suis concentrée sur mon diplôme. C’est toujours mon objectif aujourd’hui de devenir avocate.»
Al-Zouhair est née à Paris d’une mère française et d’un père saoudien. Elle a cependant été élevée à Londres. «Mon père voulait que je suive ses traces et que je sois diplômée d’une université britannique», affirme-t-elle. La famille voyageait souvent entre le Royaume-Uni et Riyad. Al-Zouhair ressent donc un fort attachement culturel et émotionnel au Royaume.
«J’adore l’Arabie saoudite. C’est une grande partie de mon identité et j’apprécie vraiment tout ce qui se passe en ce moment — les progrès au niveau de la culture, l’éducation, l’économie et les infrastructures», souligne-t-elle. «Les dirigeants actuels ont fait un travail extraordinaire pour mettre le pays au premier plan de la scène mondiale et je suis vraiment fier de voir ces changements.»
Bien qu’elle ait grandi en Europe, Al-Zouhair affirme avoir été élevée avec des «valeurs traditionnelles» et que sa religion lui est très chère. Dès le départ, elle a été claire sur ce qu’elle serait prête à faire en tant que mannequin.
«Je crois que l’industrie est très accommodante», signale-t-elle. «Tout dépend des limites que l’on se fixe. Mon agence est formidable — et ces limites ont été respectées dans tous les aspects de mon travail et avec tous mes clients. J’ai eu la chance d’avoir une très bonne expérience.»
La semaine de la Haute Couture à Paris a été un triomphe pour Al-Zouhair — si l’on fait abstraction de la fois où un type à vélo a tenté sans succès de lui voler son sac à main vintage. Le même mois, elle a également participé au défilé monumental de Dolce & Gabbana en Sicile, où la marque a célébré les 10 ans de sa ligne Alta Moda. Vêtue d’un habit noir et d’une robe noire à panneaux transparents, elle était une vision absolue sur le podium situé sur la place historique Piazza Duomo de Syracuse.
Al-Zouhair a également travaillé avec certains des plus grands noms de l’industrie sous la forme de campagnes publicitaires et d’éditoriaux, notamment Tiffany & Co, Burberry et Carolina Herrera. En 2020, elle a fait sa première couverture de Vogue Arabia, ce qui lui a valu de nombreux éloges.
«La représentation a été tournée à NEOM et nous étions le premier groupe à y tourner», déclare-t-elle. «C’était une expérience tellement exaltante parce que j’ai découvert une toute nouvelle facette de l’Arabie saoudite. C’est tout simplement l’un des plus beaux paysages que j’ai jamais vus — la mer, les montagnes, la terre — vous ne pouvez pas vous lasser de ces vues. Nous avions beaucoup de remorques au milieu du désert ; on se serait cru sur un plateau de cinéma. J’ai également pu rencontrer de nombreux membres de la production et stylistes saoudiens locaux. C’était très agréable d’avoir cette représentation.»
Jongler entre une carrière de mannequin exigeante et un cours universitaire à plein temps n’était pas chose facile. «C’était l’un des aspects les plus difficiles — l’équilibre. Cela demande beaucoup de discipline et une bonne gestion du temps, car chaque seconde compte. Chaque jour, je devais étudier, faire du sport, manger, aller à l’université et voir ma famille. Il n’y avait pas assez de temps. Une fois, je suis allée à Milan pour le travail, et en 48 heures, j’avais été dans cinq villes différentes et quatre pays.»
Al-Zouhair ne montre pourtant aucun signe de ralentissement. Elle s’est déjà inscrite dans des universités pour poursuivre ses études et il est clair que sa carrière de mannequin est sur une trajectoire ascendante, les labels et les marques s’arrachant ses services. Il semble qu’elle saisira autant d’opportunités que possible.
«À chaque défilé, l’atmosphère, l’humeur et l’énergie sont différentes. Il y a une inspiration différente derrière chaque collection et cela se reflète dans les vêtements et dans notre façon d’agir et de marcher. Je suis très reconnaissante de toutes les opportunités qui m’ont été offertes et à tous ces stylistes de m’avoir fait confiance. C’est une grande responsabilité», estime-t-elle. «Je vois le travail qui se fait en coulisses et c’est une expérience très émotionnelle. Pour moi, la mode est un art et une forme d’expression de soi. Je suis honorée de pouvoir présenter ces collections et les œuvres d’art des stylistes au monde entier.»
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
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PARIS: «Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ. Toute la Gaule est occupée par les Romains… Toute? Non! Un petit village d’irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l’envahisseur…».
Des phrases qui nous évoquent, sans hésitation, deux silhouettes: l’une petite et frêle, l’autre grande et obèse: les indémodables Astérix et Obélix.
C’était l’un des films les plus attendus de l’année en France, et il vient de sortir mercredi 1er février dans les salles obscures, «Astérix et Obélix. L’Empire du Milieu».
Réalisée par Guillaume Canet, la superproduction française (65 millions d’euros de budget) affiche un casting impressionnant: Gilles Lellouche, Vincent Cassel, Jonathan Cohen, Marion Cotillard, Pierre Richard, Philippe Katerine, Big Flo et Oli, Angèle, McFly et Carlito, Zlatan Ibrahimovic, ou encore Matthieu Chedid.
Si la réception de cette comédie est plutôt mitigée, le duo inséparable que forment Astérix et Obélix semble toujours aussi séducteur. D’ailleurs, qui sont-ils réellement? Comment ont-ils vu le jour? Comment est née leur amitié? Retour sur un duo de choc.
Même jour même heure
S’ils sont bien évidemment des personnages de fiction, Astérix et Obélix ont quand même une histoire. Celle-ci remonte à 1959, plus exactement le 29 octobre, sous les coups de crayon d’Albert Uderzo, lorsque Astérix apparaît pour la première fois dans le premier numéro de Pilote, où il vit sa première aventure, intitulée «Astérix le Gaulois». Il ne sera pas seul, puisque Obélix le rejoint également dans ce numéro, bien qu’il y joue un rôle secondaire.
La biographie des deux personnages est à retrouver dans les pages de la bande dessinée. Dans Astérix et Latraviata, publié en 2001, on apprend par exemple que les deux compères sont nés le même jour, a la même heure. Une information livrée par le druide Panoramix en personne. Les deux personnages ont 35 ans au début de leurs aventures et… ne vieillissent pas. Une seule exception est faite, lors de la parution du Livre d’or, publié en 2009 à l’occasion du 50e anniversaire de la saga, où l’on découvre les deux héros âgés de 85 ans: Astérix porte la barbe, il a un fils et cinq petits-enfants, alors que la moustache et les cheveux d’Obélix ont blanchi.
Dans Astérix et la rentrée gauloise, publié en 2003, on apprend aussi que les parents d’Obélix s’appellent Obélodalix et Gélatine, et ceux d’Astérix, Astronomix et Praline.
Une amitié à toute épreuve
Les deux Gaulois sont donc nés en même temps et ont grandi dans le même village. Leur amitié, comme on le voit dans les pages des albums de la BD, est très forte. Mis à part quelques bouderies souvent très drôles, ce sont les meilleurs amis du monde et cela a commencé dès leur jeune âge.
En effet, Astérix dans sa jeunesse est le seul ami d’Obélix: la timidité et la corpulence d’Obélix font de lui un enfant à part, dont Astérix, premier de la classe, prend toujours la défense. D’ailleurs, il ne faut jamais dire à Obélix qu’il est gros sous peine de se prendre… une baffe. La forte corpulence d’Obélix fait en effet l’objet d’un déni de sa part: il déclare être «tout juste un peu enveloppé» ou «pas maigrichon, voilà tout», ou encore «bas de poitrine».
Qui dit amitié et jeunesse, dit forcément bêtises. Et c’est d’ailleurs à cette période de leurs vies qu’Astérix commet la seule bêtise qu’on lui connaît: il fait tomber Obélix dans la marmite de la légendaire potion magique. Résultat: Obélix boit toute la potion et acquiert la force surhumaine que donne la potion et… pour toute sa vie.
À eux deux, Astérix et Obélix sont les deux principaux défenseurs du village d’irréductibles. Astérix est le guerrier le plus rusé et le plus intelligent du village et prend souvent ses conseils du druide Panoramix, le sage du village qui prépare la fameuse potion magique. Obélix, d’une grande sensibilité, est lui sans conteste le Gaulois le plus fort de son village.
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DUBAÏ: Cette semaine, le mannequin argentin Georgina Rodriguez a pris des photos d’elle lors d’une virée shopping à Riyad, profitant de l’occasion pour montrer son amour pour sa marque de vêtements de sport préférée, Alo Yoga.
Elle s’est rendue dans un centre commercial de Riyad et a opté pour un look sportif, portant un haut et une minijupe violets de la marque basée à Los Angeles. Elle les a associés à une paire de leggings en dessous, un sac en bandoulière rose, des baskets blanches et un manteau noir et blanc.
Elle tenait également un grand sac de sport Alo de couleur grise alors qu’elle posait pour une photo devant le magasin, avant de mentionner la marque dans sa publication Instagram. La star de Netflix a été repérée à plusieurs reprises vêtue de vêtements de sport de cette marque.
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Lorsqu’elle est arrivée en Arabie saoudite avec son compagnon, le footballeur portugais Cristiano Ronaldo, et leur famille en janvier, elle était habillée d’un ensemble noir de la marque et coiffée d’un bonnet blanc.
À une autre occasion, elle est sortie en portant un survêtement blanc avec une casquette noire. Sur une autre photo qu’elle a partagée sur Instagram le 14 janvier, elle portait un bob en fausse fourrure pour accessoiriser son ensemble de yoga noir.
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Le week-end dernier, Rodriguez a célébré son 29e anniversaire avec sa famille à Riyad. La famille a été photographiée au restaurant arménien Lavash sur le Boulevard Riyadh City.
Le mannequin a été accueilli avec un gâteau d’anniversaire à trois étages, orné de motifs floraux et d’un texte doré indiquant «Joyeux anniversaire» en portugais.
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Rodriguez, qui a désormais élu domicile en Arabie saoudite après que son partenaire a signé un contrat record avec Al-Nassr, a partagé ses photos sur Instagram, et a écrit: «29 ans aux côtés de personnes que j’aime de tout mon cœur. Je suis infiniment reconnaissante à Dieu pour tout. Merci d’avoir consacré un peu de votre temps à me souhaiter un bon anniversaire et à m’envoyer tant d’amour.»
Le 24 janvier, le mannequin a participé à la cérémonie des Joy Awards à Riyad. Elle portait une robe en velours bleu nuit moulante du créateur tunisien Ali Karoui, basé à Dubaï, ainsi qu’un voile assorti, des escarpins dorés du fabricant italien de chaussures de luxe Le Silla et des bijoux de la marque bahreïnie Kooheji.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
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LONDRES: Spotify a lancé une nouvelle playlist intitulée «Femmes d’Iran», exprimant son soutien aux femmes qui manifestent dans le pays.
Organisée par l’Américaine d’origine iranienne Leila Kashfi, directrice adjointe des partenariats artistiques de Digital Services Providers (DSP), cette playlist vise à amplifier la voix des filles et des femmes iraniennes et de leurs alliés dans le monde, selon les médias.
«Pendant des décennies, la République islamique a forcé les Iraniens à supprimer la beauté de la culture persane, une culture fondée il y a des milliers d’années dans la musique, la danse, le romantisme, et la tolérance», écrit Kashfi sur Instagram.
«La (République islamique) cible les artistes car la musique alimente la révolution», poursuit-elle. La compilation reflète les principales caractéristiques de la culture iranienne et célèbre l’histoire musicale passée et contemporaine du pays, notamment avec des chansons portant spécifiquement sur les manifestations actuelles.
«Femmes d’Iran» comprend des titres interprétés par des chanteuses iraniennes emblématiques, dont Googoosh, Mahasti et Hayedeh, aux côtés des artistes Shervin Hajipour et Toomaj Salehi, tous deux été arrêtés et emprisonnés après avoir partagé leur musique pour soutenir la lutte contre les injustices de la République islamique.
Hajipour, qui a reçu un nombre impressionnant de 95 000 candidatures pour le nouveau prix de la meilleure chanson pour le changement social décerné par les Grammys, a été libéré en octobre dernier à la suite de pressions internationales.
Dans le cadre du lancement de la playlist, Spotify utilise sa fonction Stories qui offre une plate-forme à la communauté créative iranienne pour s’exprimer sur des sujets tels que la culture, l’art et la liberté d’expression.
La sélection personnalisée de 50 chansons, pilotée par un algorithme, regroupe plus de 100 chansons iraniennes et comprendra cinq chansons épinglées à la playlist de chaque utilisateur, dont Baraye de Hajipour et Soorakh Moosh de Salehi.
Les trois autres sont Dobareh, une chanson collective menée par l’artiste emblématique Googoosh, Soroode Zan du chanteur populaire Mehdi Yarrahi, et une chanson qui se traduit par «Hymne à la liberté», interprétée par un collectif se nommant Ethnic Musicians.
La playlist compte également des artistes iraniens de la diaspora, dont Rana Mansour, Snoh Aalegra et la chanteuse irano-néerlandaise Sevdaliza, qui a sorti plusieurs chansons soutenant la révolution en cours en Iran.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
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